Je me baladais dans la Place du Marché où de nombreuses personnes étaient là. Ce monde était bien bizarre comparé au miens, j'observais de partout, alala ce vieux monde, il n'y avait même pas les vieux magasins de mon année 1944, en même temps je me retrouve à une époque bien ancienne où les voitures n'éxistaient pas non plus. Alala ça allait me manqué de ne plus voir mes amis, ma famille et encore moins ma chère femme. Ceci allait être dur, j'en étais certain, je continuais à observé et à marché, il y avait des magasins d'épées et toute choses pour se battre, des boucliers et autre. J'étais émerveillé devant toute cette beautée, voir tout ceci était vraiment spécial, dans mon monde il n'y avait pas tout ceci. Je continuais à avancé quand soudain je tombais sur une jeune femme, elle devait avoir vingt ans au grand maximum. Elle me demandait de me bouger, qu'elle avait un maître qui allait s'énervé si elle ne bougeait pas au plus vite.

Je suis désolé mademoiselle. Je ne voulais pas vous foncez dessus de la sorte, pardonnez moi, oh, je remarque une blessure à votre lèvre. Je suis médécin, laissez moi m'occupez de vous. Ayez confiance gente dame.

La jeune femme me semblait stupéfaite de ma réponse, elle m'observait longuement et laissait faire. Je lui désinfectais la bouche puis lui mettait un petit pensement.

Ca va aller, vous allez mieux maintenant je pense, et vous n'aurez plus la moindre trace avant un moment.

Bientot je ne sentis plus ce poids dans mon dos. J'arrives donc à me mettre debout je fais volte face et me retrouve en face d'un homme. Je le fixe. Il parle mais je l'écoute que d'une oreille. Il a quelques chose de familié pet être dans son regard. Il me dit qu'il est médecin. Il est trop jeune pour être médecin et le seul qui existe à Camelot est Gaius. Il doit toujours être vivant. Je sens quelques choses sur ma lèvre. ça colle. Je dois enlever ça avant de me retrouver face à mon mettre. Je le retire d'un coup sec. Et je fixe cet homme je dis

"Ecoutez je ne veux pas paraître impolie car vous avez l'air gentil mais qui que vous soyez arrêtez de sortir de vos poches ce genre de truc qui colle. Sauf si vous voulez finir attaché et brulé ou encore noyé l'eau est très froide à cette époque. Et je ne supporterais pas de voir à nouveau ce genre d'éxécution."

Non je ne pourrais plus revoir ça. Je rajoutes

"Uther Pendragon tue tout êtres qui pour lui use de la magie. Même si cela n'en est pas vraiment. Un autre conseil vos habits changez les."

Eum bien sûr Madame. Je ne veux pas finir brûler ni rien de tout ceci, mais c'est loin d'être de la magie, et mes habits, au grand Dieu, tout le monde les aime. On me trouve majestueux et très beau avec ceci. Oh je vois, on m'a raconté des niaiseries, bien, parfait !

La jeune femme m'observait avec un air désolé. Je l'observais à mon tour, elle était vraiment jolie, elle avait une belle robe bleu et blanche. Cette femme me rappellait ma femme dans mon monde. Elle était blonde aux yeux bleus, elle avait toujours des robes couleur clairs, Elle n'avait pas une grande taille, mais elle mettait des talons de cinq centimètres ce qui le menait à mes épaules. Quand à elle, la jeune femme qui était en face de moi, elle était belle, bien plus belle que toutes ses femmes présentes ici. Elle resemblait vraiment à ma femme, j'en étais bluffer. Elle m'observait toujours et devait se demandé à quoi je pensais.

Je vous prie de m'excusé gente dame, j'étais dans mes pensées aussi troublantes soit elles. Ecoutez je ne sais pas de quoi est capable cet Uther Pendragon je ne l'ai pas encore vu et je ne viens pas vraiment d'ici. Enfin bref, si vous avez besoin, n'hésitez pas à venir par ici j'y suis souvent.

Je sais parfaitement que la magie ne ressemble pas à ça. Je sais ce que c'est la vrai magie. Celle des magiien et celle aussi des nymphes. Ma mère était une nymphe mais elle a été noyé pour avoir été accusé de magie. Il y a des jours comme aujourd'hui où j'aimerais bien être noyé moi aussi. Au moins comme ça je n'aurais plus à obéir à mon maitre. J'écoutes d'une oreille les paroles de cet homme qui me fait fasse. Sa voie est remplie de douceur. Tout comme celle de Gaius. Enfin du moins ce que je m'en rappelles. Je pris enfin la parole

"Je suis sur qu'avec un sac à patates sur la tête vous seriez pas mal non plus. Mais l'apparence n'est qu'une enveloppe. La véritable beauté est cetlle que l'on possède au fond de nous même au fond de notre coeur"

Si j'ai besoins? Je n'ai pas le droit de parler normalement. Et encore moins de venir voir des gens et des amis. Je ferme un moement les yeux avant d'ajouter

"Je m'appelle Fantine. Et je viens ici que quand mon maître à besoisn de quelques choses. Vous savez il y a une chose qui me ferais un jour plaisir c'est d'appartenir à un maître plus gentil qui ne tape pas et qui ne cris pas à longueur de journée."

Je souriais à la jeune femme. Elle me disait ce que j'avais tant dit à tous mes patients dans mon monde, elle était remplis d'amour et de tristesse ça aussi je pouvais le pouvoir. Elle était vraiment intéressante, elle se présentait, alors elle s'appelait Fantine, et a première vue elle avait un maître bien mauvais. Je ne savais pas quoi lui dire tellement cette situation devait être désagréable pour elle. Elle m'observait longuement attendant une réponse, je lui souriais à nouveau et ajoutais.

Je m'appelle Gabriel et comme vous le savez gente dame je suis médecin. Je ne saurais pas quoi vous dire pour cette situation bien désagréable, mais sachez qu'un jour le roue tournera et vous serez heureuse. Vous verrez gente dame, une femme aussi intelligente et belle que vous méritiez le bonheur vous pouvez me croire.

La jeune femme souriait, mais elle ne semblait ne pas me croire, elle devait vivre comme ça depuis de nombreuses années. Je lui souriais en retour et m'avançais près d'elle.

Vous pouvez me croire, je suis médecin, et les médecins sont prêts à aidé leur prochains, n'est ce pas gente dame ?

Je laisse cet homme parler et m'appeler Gente Dame. De toute manière il fait bien ce qu'il veut. Après tout si il souhaite m'appeler de la sorte à lui de voir mais je sais au fond de moi qu'il n'y a pas de Gente Dame mais seulement une esclave ou devrais je plutot dire Servante du prénom de Fantine. Cet homme s'appel donc Gabriel. Il parle tout comme le faisait Gaius dans le passé. Qui sais peut être est ce que le même sang coule dans leurs veine. Il se rapproche de moi je le laisse faire me contentant de sourire même si au fond de moi je sais très bien que les paroles prononcées n'ont pas une très grande valeur. Je ne crois plus au bonheur. Celui ci est mort en même temps que ma liberté. Je dis au bout d'un moment tout en fixant Gabriel dans les yeux

"J'ai déjà entendue ses paroles là quand j'étais enfant. Gaius les disaient souvent. Il doit encore travailler ici pour Uther. Il est médecin lui aussi. En parlant de ça vous avez le même regard que lui"

Ce que j'ignorais c'est que Gabriel est un descendant de Gaius venant d'une autre époque. Mais les yeux sont resemblant

J'étais un descendant de Gaius logique que je lui ressemblais tant. J'observais Fantine elle ne me croyait vraiment pas, elle semblait même avoir peur de ce qui se passait ici. Je mettais ma main sur son épaule et ajoutais.

Il faut être fort dans la vie Fantine, dites vous que cette épreuve est dure mais qu'un jour tout ira mieux. Je suis conscient que vous souffrez énormément mais sachez qu'un médecin à toujours raison. Du moins on m'a toujours donné raison, vous allez sortir de cette dure épreuve vous pouvez me croire. Allez Fantine dites vous que ce n'est pas la fin, ne vous laissez pas abattre et battez vous. Vous verrez tout ira mieux d'ici un petit moment.

J'étais sûr de tout ce que je disais, la jeune femme méritait un avenir meilleur que celui qu'elle avait en ce moment. Je savais que ce n'était pas facile la vie dans laquelle elle vivait mais elle devait garder courage c'était ceci que je voulais lui laissé entendre.

Il faut être fort dans la vie. Cette phrase à tout son sens quand on l'entend de plus en plus souvent. Pour continuer d'avancer il faut savoir être fort et se battre. La vie se résumes à cela toujours se battre pour continuer à avancer. Je sens soudain une main se poser sur mon épaule. Cette main me fait mal. En dessous mon épaule est amoché mais ça Gabriel n'est pas censer le savoir. Cependant couper la parole à un homme c'est vraiment malpolie alors j'attends avec impatience que celui ci est finit son petit discourt. Je m'efforces de dire

"bon d'accors se n'est pas la fin mais enlever votre main s'il vous plait."

J'aimerais éviter de m'agacer. D'ailleur je n'ai pas pour habitude d'être méchante. Je repprends au bout d'un petit moment avec un regard suppliant

"pitié enlevez votre main"

La jeune femme me suppliait pour que j'enlevais ma main de son épaule. Je la retirais suite a ses demandes et remarquais qu'elle avait une blessure à l'épaule, j'étais vraiment choqué. Son maître lui faisait vraiment beaucoup de misères a première vue, j'espèrais quand même qu'il ne la violais pas. J'avais eu dans le passé une cliente qui c'était faite violé, elle en était morte après quelques mois. Elle s'était suicidé, je m'en étais voulu de n'avoir pas pu l'aidé plus que cela, je souriais à la jeune femme qui était en face de moi qui semblait avoir mal à l'épaule et qui était mal à l'aise.

Je ne sais quoi vous dire de plus a part que vous n'avez vraiment pas de chance et que tout ceci va changé. Cet homme vous traite d'une manière inhumaine et ça n'apprécie pas du tout gente dame. Vous êtes une personne bien d'après ce que j'ai pu voir depuis ses quelques instants, il souffrira autant que vous avez souffert ! C'est tout ce qu'il mérite.

Personne ne mérite de souffrir aussi tyranique qu'elle soit. j'aurais de quoi vouloir la mort d'Uther Pendragon pour avoir tuer toute ma famille mais j'ai apprit à pardonner. Concernant mon maître je suis sur qu'au fond de lui il y a du bon. Il y a du bon en chacun d'entres nous. Il enlève sa main. Je m'efforces de dire

"C'est vrai il le mérite. Mais la haine n'est pas quelques chose de bon. Elle détruit. Un homme aussi tyranique qu'il soit ne mérite pas de souffrir atant qu'il souffrir les autres. Vous savez pourquoi? Parce qu'au fond de lui il se sent coupable et il réfléchit"

Je sais que je dois y aller avant de recevoir d'autres coups je dis

"Je vais devoir y aller Gabriel. Mais si un jour j'ai l'occasion de vous revoir j'en serais honorée"

J'ai été heureux de rencontré cette jeune femme qui semblait avoir été heureuse elle aussi, je me baissais et embrassait sa main. Elle rougissait, je lui souriais à nouveau et me mettait à rire.

Faut pas rougir Gente Dame. Vous êtes belle et vous réussirez à surmonté cette étape de la vie, vous verrez que je dis vrai Gente Dame. Un médecin dit toujours la vérité.

Elle partait et affichait un sourire, lorsqu'elle partait je disais à voix basse sans que personne n'entende.

Même un médecin qui est aussi magicien. Bien sûr ceci personne ne le sait. Et personne n'a besoin de le savoir, je suis mystérieux et j'aime l'être.