La foret... C'est tellement joli et surtout tellement calme. Il y a de cela bien longtemps la petite Ambre frissonnait à l'entente du conte du petit chaperon rouge. Oui vtout le monde connait ce conte dans lequelle la fillette toute vétut de rouge se fait dévoré par le loup sanguinaire. Mais maintenant ce conte ne fera plus frissonner. Vous savez pourquoi? Parce que les loups ne sont pas des bêtes sanguinaire. Non les loups sont plus humains que les personnes. Si Ambre pouvait le crier elle le ferait à pleins poumons. Le soleil filtre à travers les feuilles et les branches. Parmis une meute de jeune loups se trouve une fillette. Celel ci se réveille lentement. Elle reste à fixer les rayon de soleil filtrés par les différents branchage. Soudain quelques choses lui mordille les cheveux. Elle sourit. Ses frères veulent jouer. Ambre se met à quatre pattes. Ce mode de locomotion qu'elle à adopter parmis ses compagnons à fourrure. Elle commence à courir de cette manière elle sens ses frères la rattrapper. Mais elle n'arrête pas elle continue. Elle avait l'intention de gagner. Mais soudain elle s'imobilisa net comme électrisé. Quelques choses venait de se refermer violemment sur sa cheville provoquant un craquement assez sec de l'os et une douleur fulgurante. Ambre baisse le regard. Si elle pouvait pleurer ou crier elle le ferais mais elle ne le peux plus depuis pas mal d'années. Elle voit des machoires métaliques et du sang. Elle essais de la desserrer mais elle n'y arrive pas. Elle sens bientot des léchouilles de ses frères à fourrure. Ambre connait ce genre de piège elle a observé. Se sont les hommes qui les mettent pour tuer les loups ils sont empoisonnés. Elle commence instinctivement à lécher le sang qui coule le long de sa jambe. Aucune larmes aucun cri non rien. La seule chose qui vient perturber cette scène se sont les gémissement et les couinement de ses frères à fourrure qui appel de l'aide à leur manière. Mais qui viendra? Tout le monde c'est que les loups c'est dangereux et qu'ils sont à éliminer

Tout devint peu à peu blanc autour de moi. La douleur n'est plus là enfin qu'elle soit là ou non cela ne change pas grand chose. Tout est engourdis. Oui tout mes membres sont engourdis. Cette sensation je l'ai ressentit plusieurs fois dans le passé quand on me tapait où quand on me plongeait la tête dans de l'eau froide jusqu'à ce que je suffoques par manques d'oxygène. Je suis bien dans ce monde tout blanc. Comme dans un rève je me sens très bien. Puis quelques choses m'arracha à cet endroit paisible. Comme une voie. Mais je suis tellement bien. De loin de très loin je sens qu'on fait relaché le piège autour de ma jambe. Je ne cherches pas à me débattre. A moitié revenu je me forces à ouvrir les yeux. Je me retrouve entouré de mes frères à fourrure qui ne tardent pas à déguerpir et il y a un humain enfin plusieurs humain. Celui ci tiens une arme. Je lèves les yeux L'humain attends surement que je parles. Non les humains sont méchant en général. Pourtant celui ci à l'air gentil. Je ne peux pas parler comme lui à cause de ce qu'on m'a forcer à avaler avant d'essayer de me tuer. je passe lentement la main sur sa peau pour toucher sans faire mal

- Ne t'inquiéte pas petite ! Tout va bien se passer ! Tu risques d'avoir un peu mal ! dis-je pour ne pas trop l'effrayer. Gardes, enlevez-lui ce piège de sa jambe !

Deux gardes s'attaquérent à la tâche confiée. Mais la fillette semblait méfiante.

(Je peux me tapper l'incruste?)

J'arrivais derrière Arthur quand on entendit hurler et je vit une petite fille prise dans un piège. Deux gardes approchèrent mais la petite recula de peur. Je descendit de cheval

Altesse, vous lui faites peur, laissez moi essayer...

- Laissez-le faire ! ordonnais-je aux gardes.

Je regardais donc Merlin s'approcher de l'enfant sauvage.





(moi ça me dérange pas ! j'aurais pas voulu jouer ton rôle de toute façon ! )

J'approchez doucement de l'enfant et m'accroupie près d'elle. Je ressentis alors qu'elle était spéciale, qu'elle était unique en son genre et qu'on devais s'occuper d'elle.

*N'ai pas peur...Je vais te libérer...*

Je regardai Arthur sachant que si j'usais de ma magie sur la petite il allait me découvrir.

Vous l'effrayez tous à être la! Vous devriez y aller on va vous rejoindre

J'ai peur vraiment très peur. Lesh umains sont méchant en général. Je me recules un peu en voyant d'autres humains s'approcher. Ce geste me provoque une imense douleur dans ma jambe. Mais de toute manière je ne peux pas hurler de douleur. Je vois soudain un autre deux pattes. Celui ci à quelques choses de différent. Il a quelques choses comme moi. Je le fixe je le laisses approcher. Je ne sais pas mais je creer des mots dans sa tête

**Toi humain gentil? Toi comme moi?**

*Oui je suis un gentil, tu n'as rien à craindre de moi...Je vais te soigner...Comment t'appel tu?

Tout en lui parlant et en la rassurant je lui retirai le piège de la jambe et m'assurant que personne ne me vérai j'usai de ma magie pour la soigner le temps que je l'amène chez Gaïus.

Ne pas avoir peur ne pas craindre. C'est ce que voulait l'humain. Etrangement j'ai envie d'avoir confiance en lui. Lentement je formes les mots dans sa tête

**Gentil toi. Moi ambre. Toi pas taper moi s'il te plait.**

Elle avait du avoir une vie drolement dure pour me demander de ne pas la frapper...Si je tennais les salaud qui lui servaient de parents...Pauvre puce...

*Tu n'as pas à avoir peur de moi...Je ne te ferai jamais de mal...Je m'appel Merlin, je vais t'amener avec moi on soignera ta jambe...Je vais te soulever pour te mettre sur mon cheval d'accord?*

Arthur semblait déjà loin avec les soldats. Je pris la petite doucement et la hissa sur la scelle devant moi avant de monter et diriger ma monture vers la sortie de la forêt, serrant doucement Ambre contre moi pour ne pas qu'elle tombe

Il veut m'emener avec lui. Mais où je ne comprends pas. Ici c'est chez moi. Les loups sont ma famille. C'est eux qui m'ont reccueillit. Je laisses le monsieur s'occuper de moi. Je sens qu'on me soulève et qu'on me met sur un cheval. Je ne cherches pas à bouger. Je formes dans la tête du monsieur

**Mains à toi font bobo à mon ventre**

Et oui le monsieur c'est pas censé savoir que je suis bléssé partout sur tout le corps. Je rajoutes dans sa tête

**Toi gentil mais fais mal**

Elle me dit que mes mains lui faisaient mal au ventre...Pourtant je ne la serrai pas si fort que ça...J'arrêtai ma monture et la fit descendre doucement avant de la regarder.

*Ou as tu mal Ambre? Tu es blessée ailleure? Je suis désoler si je t'ai fais mal...*

je regarda le monsieur il voulais que je lui dises où j'ai mal. Il descendit du cheval. Je dis dans sa tête

**Non ça va aller c'est pas grave**

En fait je ne veux pas qu'il regardes il hocha la tête et il remonta sur sa monture nous e tardons pas à arriver dans la cour d'un chateau je restes silencieuse